Nous naviguons à vue dans des moitiés de rêves, des parts de mondes fantasmés et surestimés. Quand nous en aurons fini avec cette errance, nous ne serons pas plus libres, seulement débarrassés de l'amertume d'avoir perdu les visages familiers qui étaient encore là et disaient la joyeuse surprise de nous retrouver.
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