René Char écrit :
Un grand ciel se lève devant moi.
Les images sont des fantômes agissants, en décalage. Tu es comme une ombre qui tombe du soleil. Nos orages nous sont essentiels. Dans l'ordre des douleurs la société n'est pas fatalement fautive, malgré ses étroites places, ses murs, leur écroulement et leur restauration alternés. On ne peut se mesurer avec l'image qu'autrui se fait de nous, l'analogie bientôt se perdrait.